Les conséquences de la désobéissance, et du délaissement des péchés
Bismillehi Ar Rahmani Ar Rahim
Les conséquences de la désobéissance :
Le manque de réussite
L'altération des idées
L'échappement de la vérité
La corruption du coeur
Une lourdeur dans l'évocation d'Allah ou l'engourdissement de la mémoire
La perte de temps
L'éloignement des gens
Une séparation,un isolement entre le serviteur et son seigneur
L'empêchement de l'exaucement de l'invocation
L'endurcissement du coeur
La disparition de la bénédiction dans la subsistance et l'âge
La privation de la science
L'habillement de l'humiliation
La méprise de l'ennemi
Le rétrécissement de la poitrine
L'épreuve d'avoir des mauvais compagnons qui corrompent le coeur et font perdre du temps
La continuité des soucis et chagrins
Une vie de gêne
Confusion de l'esprit...
Tout cela né de la désobéissance et l'insouciance au rappel d'Allah comme la culture provient de l'eau et ainsi que l'incendie provient du feu, et le contraire, de tout ce qui a été cité, né de l'obéissance.
Voici quelques magnifique *conséquences du délaissement des péchés:
Une vie agréable, un corps reposé,
Un cœur fort,
Une âme bonne,
Un bien-être intérieur,
Une poitrine épanouie.
Une issue de secours dans les situations où les pervers et débauchés n'en trouvent pas.
La facilitation des actes d'obéissance et de l'accès à la science religieuse.
Le charme qui embellit son visage.
La rapidité avec laquelle ses invocations sont exaucées.
La proximité des Anges et l'éloignement des Demons qu'ils soient humains ou djinns.
Le fait de goûter à la douceur de l'obéissance et aux délices de la foi.
L'amélioration de ses capacités de réflexion et de compréhension, et l'augmentation de sa foi et de ses connaissances.
L'amour d'ALLAH [عز وجل] envers lui, l'intérêt qu'IL lui porte et le fait qu'IL Se réjouit du repentir de Son serviteur.
Le fait qu'ALLAH lui fasse goûter à une joie et un bonheur qui ne sont en rien comparable à la joie et au bonheur procurés par la désobéissance.
Source : [Ibn Qayyîm Al-Jawziyyâh رحمه الله] {Tiré du Kitab "Al-Fawâ'id" (p.241,242)]